Un préavis intersyndical avait été déposé dans l'Eure pour une semaine de mobilisation à compter du 11 octobre.

Les agents du département se sont fortement mobilisés

La journée d'action et de grève du 10 octobre a rencontré un grand succès dans l'ensemble de la fonction publique.

Les projets de lois de finances et de financement de la Sécurité sociale confirment la volonté des pouvoirs publics de répondre aux injonctions de la Commission européenne.

Les Fédérations des Finances Solidaires, CGT, FO, CFDT, CFTC et UNSA dénoncent :

Les premières décisions du gouvernement concernant la Fonction publique et les fonctionnaires :

La CGT Finances Publiques appelle  les agents à participer massivement aux manifestations du 21 septembre, sous toutes les formes. Le 12 septembre, les 200 manifestations sur tout le territoire ont rassemblé près de 500.000 personnes.

 

Le 21 septembre 2017,
TOUTES ET TOUS ENSEMBLE,
dans la rue, exigeons des politiques capables de répondre aux besoins sociaux !

Par note de service du 31 août 2017, le Directeur général, Bruno Parent, menace les agents de procédures de sanctions disciplinaires s’il est constaté que, en décharges d’activité ou crédits d’heures syndicales, ils participent à une action

NON AU PROJET DE FERMETURE DES TRESORERIES DE MONTSALVY ET DE LAROQUEBROU !

Les annonces et les premières décisions prises depuis les élections présidentielles et législatives portent un message clair : le Président de la République, le Premier ministre et le gouvernement préfèrent les riches et la loi du profit à la Fonction publique, ses usagers et ses agents.

Ce 23 août, la CGT a rencontré pour la dernière fois le directeur de cabinet de la ministre du Travail Muriel Penicaud, pour une présentation d’une trentaine de pages des 200 pages des Ordonnances qui vont

Reçue le 4 août 2017 à sa demande l’intersyndicale du département a été informée par le directeur départemental de son orientation concernant l‘Adaptation des Structures du Réseau ( ASR 2018 ) :

L’objectif affiché du Président Macron est de «libérer l’économie» en remettant en cause le maximum de droits acquis par les salarié-e-s, retraité-e-s, ou à la recherche d’un emploi, depuis la fin de la seconde guerre mondiale

Pages